Publié le 23/06/2013 à 22:00
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Bernard Tapie était attendu ce lundi pour s'expliquer sur l'arbitrage qui, en lui accordant en 2008 plus de 400 millions d'euros, lui avait permis de revenir aux affaires.
Il aurait été placé en garde à vue, à l'hôpital parisien de l'Hôtel-Dieu à Paris.
Cette décision vaut désormais à trois de ses protagonistes une mise en examen pour escroquerie en bande organisée.
Aujourd'hui, les juges d'instruction veulent savoir comment l'homme d'affaires a plaidé sa cause à l'Elysée et au ministère de l'Economie, et s'intéressent de près à ses liens avec les arbitres.
Il peut être entendu librement ou placé en garde à vue, une mesure qui, du fait du contexte de «bande organisée», peut durer jusqu'à quatre jours.
Lundi, une autre personne a été placée en garde à vue.
Il s'agit de Jean Bruneau, ancien président de l'association des petits porteurs de Bernard Tapie Finances.
Il aurait été placé en garde à vue, à l'hôpital parisien de l'Hôtel-Dieu à Paris.
Cette décision vaut désormais à trois de ses protagonistes une mise en examen pour escroquerie en bande organisée.
Aujourd'hui, les juges d'instruction veulent savoir comment l'homme d'affaires a plaidé sa cause à l'Elysée et au ministère de l'Economie, et s'intéressent de près à ses liens avec les arbitres.
Il peut être entendu librement ou placé en garde à vue, une mesure qui, du fait du contexte de «bande organisée», peut durer jusqu'à quatre jours.
Lundi, une autre personne a été placée en garde à vue.
Il s'agit de Jean Bruneau, ancien président de l'association des petits porteurs de Bernard Tapie Finances.