Publié le 01/06/2018 à 04:22
Temps de lecture : 2
min

Le ministre de l'Économie, Étienne Schneider a annoncé hier que deux potentiels repreneurs se seraient placés pour reprendre le site dudelangeois. On parle aujourd'hui de l'entreprise allemande Salzgitter en plus du repreneur russe NLMK.
Selon nos confrères de l'Essentiel, Étienne Schneider a répété qu'il était «en contact permanent» avec Aditya Mittal, président du n°1 mondial de l'acier pour «assurer la reprise des salariés sous les conditions actuelles». ArcelorMittal a donc décidé de se séparer de plusieurs sites en Europe, dont Dudelange ou encore Liège, pour avoir le droit de racheter l'Italien Ilva.
Pourtant sur le site, on reste encore dans l'incertitude. Hamid Himmiche, représentant OGBL Arcelormittal Luxembourg/Europe rappelle que "Les incertitudes sont nombreuses. Les salariés n'en savent pas plus et veulent garder leurs acquis "arcelor". On reste en stand-by sur le rachat de l'italien. Il y a aussi la politique italienne qui est en cours de changement et il y a eu récement un accident mortel sur place chez ILVA. L'attente est longue mais on ne laissera pas faire n'importe quoi"
Selon nos confrères de l'Essentiel, Étienne Schneider a répété qu'il était «en contact permanent» avec Aditya Mittal, président du n°1 mondial de l'acier pour «assurer la reprise des salariés sous les conditions actuelles». ArcelorMittal a donc décidé de se séparer de plusieurs sites en Europe, dont Dudelange ou encore Liège, pour avoir le droit de racheter l'Italien Ilva.
Pourtant sur le site, on reste encore dans l'incertitude. Hamid Himmiche, représentant OGBL Arcelormittal Luxembourg/Europe rappelle que "Les incertitudes sont nombreuses. Les salariés n'en savent pas plus et veulent garder leurs acquis "arcelor". On reste en stand-by sur le rachat de l'italien. Il y a aussi la politique italienne qui est en cours de changement et il y a eu récement un accident mortel sur place chez ILVA. L'attente est longue mais on ne laissera pas faire n'importe quoi"