Publié le 24/11/2017 à 07:05
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La taxe d'habitation devrait être supprimée pour tout le monde !
A l'origine, Emmanuel Macron voulait exonérer 80% des ménages français de la taxe d'habitation d'ici 2020. Au final, l'ensemble de la population pourrait bien être concernée. Rdv donc dans 2 ans si tout va bien car les finances de l'État le ne permettent pas tout de suite. L'Institut de l'entreprise estime que c'est une facture considérable de 18 à 20 milliards par an, soit un point de PIB.
Sont concernés les célibataires jusqu'à 2 500 euros de revenus par mois et les couples avec un enfant jusqu'à 4 500 euros par mois.
En tout cas, selon une information du Parisien, une source haut placée à Bercy estime qu'une telle mesure résulterait d'une certaine "cohérence". Elle ne serait pas seulement défendue au ministère de Bruno Le Maire, mais aussi à l'Élysée.
Une mesure qui divise
Sur ce marché parisien, la nouvelle divise : certains sont heureux de ne plus payer quand d'autres s'inquiètent du bon fonctionnement des villes à la suppression de cette taxe. Au Congrès des maires de France, les élus sont également loin d'être unanimes. La suppression de cet impôt local compensé par une aide de l'État aux villes revient pour certains à une mise sous tutelle.
A l'origine, Emmanuel Macron voulait exonérer 80% des ménages français de la taxe d'habitation d'ici 2020. Au final, l'ensemble de la population pourrait bien être concernée. Rdv donc dans 2 ans si tout va bien car les finances de l'État le ne permettent pas tout de suite. L'Institut de l'entreprise estime que c'est une facture considérable de 18 à 20 milliards par an, soit un point de PIB.
Sont concernés les célibataires jusqu'à 2 500 euros de revenus par mois et les couples avec un enfant jusqu'à 4 500 euros par mois.
En tout cas, selon une information du Parisien, une source haut placée à Bercy estime qu'une telle mesure résulterait d'une certaine "cohérence". Elle ne serait pas seulement défendue au ministère de Bruno Le Maire, mais aussi à l'Élysée.
Une mesure qui divise
Sur ce marché parisien, la nouvelle divise : certains sont heureux de ne plus payer quand d'autres s'inquiètent du bon fonctionnement des villes à la suppression de cette taxe. Au Congrès des maires de France, les élus sont également loin d'être unanimes. La suppression de cet impôt local compensé par une aide de l'État aux villes revient pour certains à une mise sous tutelle.